Morphe et ses colleguès

Le soir, quand je vais me coucher... je suis contente...
j'ai un monde entier à rêver.
Je choisi mes personnages, mes ambiances... les histoires.
Personne ne peux me l'empêcher. Chez moi, chez ma tête, c'est la liberté d'expression la plut total.
Mais (parce que il y a un 'mais') mes neurones veulent aussi s'exprimer.. et dès que je suis en peu plus profondément endormie... elle prennent le chemin qu'elles veulent... et là...
et là...
Je m'étonne des choses que l'on peut rêver.
Sans le savoir, on accumule des souvenir, des sensations, des choses non dites, des visages d'inconnus, des pensées secrètement cachés dans notre inconscience ou simplement des secrets qu'on savais même pas qu'on les avait tellement on a voulu les oublier.
Mes neurones font sa cuisine, elle prennent un peu de ça, un peu de l'autre... elle rajoutent une pointe de imagination et je passe des soirées pas toujours marrantes..

Des matins... j'ai vraiment du mal à faire la distinction entre vie et rêve.
J'ai toujours peur que ça reste comme ça. J'ai la crainte de me lever un jour et de ne pas être capable de voir la différence à jamais.

J'aime pas le nom de Ester la folle.
Crazy Ester non plus...
Ester la loca moins encore.