mardi, février 13

pulgar, anular...

Quelqu'un s'est levé un jour et il s'est dit: tiens! je vais fabriquer des faux ongles. Je vais les appeler Fingrs et je vais pouvoir vivre de ça.
Et cette personne aura un marché, et elle vendra des millions, dans le monde entier si ça se trouve. Tout le monde les portera.... et sans savoir quand, on finira pour dire Fingrs comme on dit kleenex ou Sopalin.

Il y a des jours où je ne me sens pas bien de vouloir comprendre comment les choses marchent. ça me déprime.

Imaginer que cette personne peut s'enrichir en vendant des bouts de plastique pour les cruches quand il y en a, des autres, avec des idées surprenantes (et bien plus pratiques) qui risqueront d'être, peut-être, commerciaux de la marque Fingrs... ça m'enrage.

Vous allez me dire peut-être que, si cet entrepreneur a eu l'idée et il a réussi sacrement son coup, il mérite être où il es. Ça, je vais me répéter, c'est précisément qui me déprime. Il faut savoir 'amener' son coup... que ça soit de la merde ou pas... le but, c'est d'être gagnant.

mauvais digestion tiens!
ça m'apprendra à vouloir faire mes théories à deux balles sur le capitalisme.